Ce film pourrait être qualifier de Road Movie sachant que les deux personnages principaux passent les quasi deux heures de film dans une voiture. Seulement voilà, la vitesse si lente à laquelle ils roulent (car ils sont pris dans les embouteillages) donne l’illusion d’un surplace, tout comme le déroulement du film qui va à la même vitesse.
L’enjeu pourtant paraissait intéressant et c’est d’ailleurs un vrai challenge pour n’importe quel réalisateur : comment filmer deux personnages enfermés dans une voiture sans laisser le spectateurs sur ‘le bord de la route’? Dans Passengers, on tient dix minutes, les plans de points de vue multiples et plutôt rapide nous divertissent mais au bout de une heure et demi nous sommes pris d’impatience autant qu’eux. Miracle !, le couple fait une escale chez des amis pour régler des affaires, cette séquence est comme un bol d’air, on ne veut pas qu’elle se termine.
Malheureusement, le retour dans la voiture s’avère fatal, la tension monte entre ce couple (semblant pourtant s’aimer et avoir une vie sexuelle plutôt active puisque c’est la première chose qui est montré dans ce métrage), mais pourquoi? Il est vrai qu’il faut reconnaitre la solidité des dialogues mais est-ce inévitable de finir par une dispute quand on passe deux heures dans les embouteillages? Oui, pourquoi pas, mais alors, peut-être pas à en venir à des aveux à la «je te trompe, j’ai une liaison depuis quatre mois», le film bascule alors dans une comédie à l’eau de rose version moderne (oui, ils ont une belle voiture quand-même!).
L’intervention du réalisateur (Michael Bond) après le visionnage du film allait donc expliquer ses choix cinématographiques. Mais de là à apprendre que finalement l’essentiel c’est «la bague en diamant» que la femme enfile au début qui est le fil directeur de tout le film!.. j’aurais plutôt pensé aux panneaux de signalisations.. Ajoutons tout de même que cette bague est présente dans quatre plans en deux heures, il est vrai que cela frappe en visionnant ce voyage catastrophe.
Enfin, après la révélation de la femme qui part toute seule quand ils sont finalement arrivés devant le restaurant (la destination finale, ouf!), celle-ci s’en va toute seule. Mais ce n’est pas grave, parce qu’on attend que son mari déboule dans le restaurant pour casser la figure de l’amant, son ennemi. Mais non, celui-ci s’en va, bredouille, pour sûrement manger une pizza devant la télévision au chaud à la maison, ce qu’il rêve de faire depuis que le moteur tourne. Une chose est sûre, le retour se fait sans moi : «okay bye»!
L’enjeu pourtant paraissait intéressant et c’est d’ailleurs un vrai challenge pour n’importe quel réalisateur : comment filmer deux personnages enfermés dans une voiture sans laisser le spectateurs sur ‘le bord de la route’? Dans Passengers, on tient dix minutes, les plans de points de vue multiples et plutôt rapide nous divertissent mais au bout de une heure et demi nous sommes pris d’impatience autant qu’eux. Miracle !, le couple fait une escale chez des amis pour régler des affaires, cette séquence est comme un bol d’air, on ne veut pas qu’elle se termine.
Malheureusement, le retour dans la voiture s’avère fatal, la tension monte entre ce couple (semblant pourtant s’aimer et avoir une vie sexuelle plutôt active puisque c’est la première chose qui est montré dans ce métrage), mais pourquoi? Il est vrai qu’il faut reconnaitre la solidité des dialogues mais est-ce inévitable de finir par une dispute quand on passe deux heures dans les embouteillages? Oui, pourquoi pas, mais alors, peut-être pas à en venir à des aveux à la «je te trompe, j’ai une liaison depuis quatre mois», le film bascule alors dans une comédie à l’eau de rose version moderne (oui, ils ont une belle voiture quand-même!).
L’intervention du réalisateur (Michael Bond) après le visionnage du film allait donc expliquer ses choix cinématographiques. Mais de là à apprendre que finalement l’essentiel c’est «la bague en diamant» que la femme enfile au début qui est le fil directeur de tout le film!.. j’aurais plutôt pensé aux panneaux de signalisations.. Ajoutons tout de même que cette bague est présente dans quatre plans en deux heures, il est vrai que cela frappe en visionnant ce voyage catastrophe.
Enfin, après la révélation de la femme qui part toute seule quand ils sont finalement arrivés devant le restaurant (la destination finale, ouf!), celle-ci s’en va toute seule. Mais ce n’est pas grave, parce qu’on attend que son mari déboule dans le restaurant pour casser la figure de l’amant, son ennemi. Mais non, celui-ci s’en va, bredouille, pour sûrement manger une pizza devant la télévision au chaud à la maison, ce qu’il rêve de faire depuis que le moteur tourne. Une chose est sûre, le retour se fait sans moi : «okay bye»!